Le vélo est malheureusement un moyen de transport assez négligé actuellement. On préfère les voitures, les motos ou encore on préférerait supporter le métro. On se dit que pédaler est terriblement fatigant. C’est bien triste car on a tort, il y a énormément à gagner avec le vélo. Le cyclisme n’agit pas uniquement sur la santé physique, notre mental y trouve aussi son bonheur. Comment il peut alors changer notre vie ?
Le vélo pour mon corps
Pédaler n’est pas seulement un moyen de se déplacer, c’est aussi un sport. Il se pratique à l’extérieur, ce qui fait son plus grand atout. Contrairement aux autres moyens de transport, l’air qui entoure le vélo est plus sain pour nos poumons que celui qui entoure nos véhicules motorisés. Au pire, nous serons comme des fumeurs passifs en centre-ville. Il n’y a pas que nos poumons qui bénéficient de cet air pur extérieur mais également notre cerveau. Un cerveau bien oxygéné remplit mieux ses tâches, assure un meilleur fonctionnement de tout l’organisme. Pédaler est également le meilleur moyen de se sculpter un corps de rêve, voilà pourquoi les vélos d’intérieur existent. Le cyclisme brûle rapidement les graisses en trop sans besoin de faire un sprint, et sans se péter les genoux comme à la course à pied. Il augmente notre endurance et renforce le système cardiovasculaire. Et enfin, ce qui ne serait pas pour déplaire certains ou certaines : le vélo permet une plus grande vitalité sexuelle grâce à une meilleure vascularisation de toute l’anatomie sans laisser de côté celle des plus intimes.
Le vélo pour mon mental
Donc, non seulement il contribue à notre santé physique mais également à notre santé psychique. Comme tout autre sport, il déclenche la production d’endorphines, des substances produites par certaines cellules du cerveau qui réduisent le stress. Le cyclisme permet également d’éviter de tomber dans la consommation des produits illicites car il permet de planer sans fumer en réduisant les risques de dépression et en augmentant le taux d’adrénaline en approfondissant le sport (faire du cyclo-cross, du cyclisme sur piste, etc.) Pour finir, grâce à la diminution de cortisol, substance sécrétée par les glandes surrénales, une stabilité de l’humeur est plus vue chez les cyclistes.